vendredi 29 février 2008

Février

Février, bien qu’elle soit un mois très court, de toute fois elle a permis quelques évènements considérables à passer.
J’assiste encore le culte à l’église. L’amitié de mes deux chères amies ; Eliane et Marisse, est la chose la plus importante que l’église m’ait rendu, elles sont des dames sages et je suis très reconnaissant de passer de temps avec elles, je m’en profite des conversations complexes, amusantes et intéressantes, de plus, le week-end dernier, comme elles conduisent, nous avons pu aller ensemble à la plage d’Arcachon à la couche de soleil. [tenez les photos au font de la page].
J’étais ravie d’accepter l’invitation d’un de mes camarades bénévoles d’une fête annuelle chez le restaurant de son fils. J’ai passé une soirée avec des amis dont tous sont majeurs de soixante ans. J’ai toujours apprécié la sagesse des gens aines et j’ai voulu le montrer qu’en passant le soir parmi eux me plaira beaucoup. J’aurai vraiment du mal à les quitter à la fin de l’année scolaire. Je suis toujours contente à passer tous mes lundis avec une telle équipe, néanmoins il me semble qu’il est d’un grand service d’aider les gens défavorisés ; un travail valable à la société et à l’humanité aussi. Même s’il n’y avait pas des bénévoles aimables j’aurai toujours des sentiments qu’il est vraiment d’un bon apprentissage pour la vie. [tenez les photos au font de la page].
J’emprunte des livres à la bibliothèque universitaire en espérant que les livres des sciences sociales françaises m’intéresseraient. Malheureusement le vocabulaire et la langue des textes sont trop complexes et j’avais dû lire chez les livres littéraires qui me plait mais ne sont pas toujours d’utile aux études sociologique qui prend partie de moitie de ma licence. Pourtant un ami m’a prêté une copie du livre ; « Brave New World ’ qu’il y a un an que j’avais commencé. Il me semble que la lecture anglaise soit très importante pour les étudiantes linguistiques, il nous faut se rappeler et de s’informer de notre langue maternelle. Sinon comment pourrions-nous travailler comme enseignants ou traducteurs ?
Puisqu’un de mes colocataires se déménage, je me sens prête à poursuivre une vie encore plus indépendante ; une vie qui me rendra plus sûre de moi, et je suis sure de parler plus de francais à l’appartement.
J’ai pris quelques jours des vacances à visiter Chester. Il me fallait me naviguer dans une ville que je ne connais pas pour attraper mon vol, la ville de Limoges. J’ai négocié mon chemin avec les renseignements des limogeons et mon plan de la ville. J’étais très fière de traverser cette ville toute seule, d ‘abords, pour économiser de l’argent pour un taxi et ensuite pour exercer mes capacités de navigation.
Au début d’un deuxième semestre je suis très contente à célébrer enfin que j’utilise mon journal ! J’ai vu une amélioration de la façon que je me gère au but de mes études, à mes postes bénévoles, à mes loisirs. Les études de la grammaire ne sont pas si de succès que j’aurais voulu mais au cours du mois prochain, je me motiverai de faire plus attention aux niveaux faibles de mes études en français.Les cours commencent bien, je comprends mes professeurs très bien. J’ai choqué un professeur d’histoire en répondrant à ses questions rhétoriques qu’il nous posait. Je regrette que même après trois semaines je n’aie toujours pas l’impression que je m’installe bien ; un professeur de traduction était gravement malade depuis le début de semestre et les autres cours ont étés perturbés pour une telle raison quoi qu’elle soit. Voilà c’est la France !