mercredi 30 avril 2008

Avril

A cause des soucis de santé à nouveau, j’ai eu le devoir de négocier avec plusieurs médecins une longe histoire de ce qui m’est arrivé au cours des dernières semaines. Il me faut toujours garder le sang froid en attendant les soins, même si je n’ai plus une moindre de patience.
Les cours sont terminés à la fin du mois, les deux profs qui me sont enseignés pendant les deux semestres m’ont remercié pour ma participation au cours, et les idées que je les ai partagés, je les ai remerciés à mon tour pour l’opportunité de faire la connaissance des cours aussi intéressants. Pourtant mes traductions notées me rappellent que j’ai besoin de faire des efforts pour que je progresse en lexique par exemple.
Il ne me reste qu’un seul lundi au mois de mai au ‘Pain de L’amitié’ avec mon cher group des bénévoles avec lequel je me sens si proche. Je leurs ai confié qu’ils me manqueront vraiment quand je repars en Angleterre. Je n’attendais pas à y rencontrer les amis que j’aimerais aussi fort. Cela me montre que j’ai fais des avances depuis l’année dernière à Tours et donc cette fois-ci j’ai profité mieux de ma situation.
La chance d’être guide touristique m’est venue deux fois au mois d’avril : j’ai accueilli mon ancienne correspondante, Alexia, d’abords. Nous sommes allées au musée des arts décoratifs, c’était bien de passer un bon moment ensemble. Ensuite, à la fin du mois mon père est venu me visiter, je lui ai montré la ville et grâce à la voiture, loué pendant un week-end, nous avons pu aller à la dune de Pilat- d’une hauteur d’environ 115metres et 250metres de large.
Malheureusement il a si plu pendant le mois d’avril que j’ai peu utilisé mes rollers. Je regrette que je n’aie fait aucune avance et que peut-être je n’arriverai pas à mes objectifs- (roller jusqu'à l’arrêt de tram avant que je partes).
Je suis allée assister à un culte de l’autre cote de la ville, celui-ci me convient mieux : Dépit qu’il y a plus de monde et donc il est moins facile de faire la connaissance des autres, l’ambiance me rend plus à l’aise et les sermons sont plus intéressants.
La dissertation au but des SDF me demande beaucoup plus de négociation que le mon dernier exposé. Comme je ne connaissais personne de l’administration des organisations qui aident les SDF, c’était moins facile de trouver les individus à interviewer. Ce projet me rendra plus utile à l’avenir parce qu’il s’agit de l’autre métier de ma licence et il est d’un débat qui m’engage à s’intéresser à la politique. Aujourd'hui j’ai poursuit ma première interview pour mes évaluations. Bien que certains questions n’étaient pas assez clair, cela m’a donné l’avantage d’interagir avec l’invitée.

lundi 31 mars 2008

Mars

A la fin du denier mois je ne me sentais pas très s’assurée de mon utilisation de la grammaire française. Mes visites à la bibliothèque ont changé du but ; j’ai décidé d’emprunter les livres de grammaire. J’ai pratiqué quelques-unes de mes faiblesses comme la conjugaison des verbes qui terminent en ir, l’emploi du subjonctif ou, le dilemme d’employer l’imparfait ou le passé composé. Dans mes cours de traduction en version littéraire aussi, je m’entraîne la bonne utilisation de l’imparfait et du passé composé.
J’entends un change exceptionnel de la prononciation de certains élèves en Anglais à l’accompagnement scolaire au centre social. Au moins s’ils s’entraînent à la vraie prononciation, (que leurs profs ne pouvaient pas faire pour chaque individu) je serai contente que je les enseigne les choses d’utiles et qu’ils peuvent s’en servir de. Il est impressionnant comment je peux les aider. Depuis que la lycéenne, Lisa, s’est exprimée à moi son inquiétude de son bac, nous nous sommes accordées de se réunir deux fois par semaine pour qu’elle puisse avoir d’aide individuel. Je construis les phrases en francais et elle les traduit en anglais (espérant qu’elle pratique des choses de ses cours qu’elle ne comprenait pas avant). Je suis fière de noter que j’ai même corrigé une des ses phrases en Français ; ce sont mes cours de version que j’emplois.
Je suis allée voir le film « Paris ». La vie des personnages les a tout lié d’une façon quelconque, l’humeur ironique, les histoires complexes à chacun et les petits surpris qui les arrive. J’aimais bien le mystère comme celui de la vraie vie dont il nous a laisse là-dedans à la fin du film ; nous ne saurions jamais ce qui suivra.
Ma capacité en rollers s’avance ; j’ai appris comment freiner et comment patiner au trottoirs pavés. Je m’amuse vraiment ; je trouve qu’il est nécessaire de se moquer de soi des fois que je me tombe. Il est mon espoir de devenir aussi bonne que je puisse roller de mon appartement au centre ville avant que je quitte la ville en juin.
J’ai commencé à faire des recherches pour mes prochaines évaluations. D’abords je cherchais les pliées qui m’expliqueraient les soutiens offerts aux SDF de Bordeaux et ailleurs. Malheureusement les conseils d’Emmaüs et de Diaconat ; deux agences d’aides diverses, étaient d’aller voir leurs sites de Web.
Le week-end dernier je suis allée à Nantes avec une amie de Bordeaux. Comme une de mes anciennes correspondantes ; Alexia, y habite, j’en ai profité dans une autre façon ; pour la rendre une visite aussi. Au début de l’année je me suis que la meilleure chose pour ma progression en parlant la langue française est de mieux connaître mes amis parce qu’ils me encourageront de pratiquer le francais d’un niveau le plus haut que je peux. De plus, elle n’a pas du mal à me corriger !

vendredi 29 février 2008

Février

Février, bien qu’elle soit un mois très court, de toute fois elle a permis quelques évènements considérables à passer.
J’assiste encore le culte à l’église. L’amitié de mes deux chères amies ; Eliane et Marisse, est la chose la plus importante que l’église m’ait rendu, elles sont des dames sages et je suis très reconnaissant de passer de temps avec elles, je m’en profite des conversations complexes, amusantes et intéressantes, de plus, le week-end dernier, comme elles conduisent, nous avons pu aller ensemble à la plage d’Arcachon à la couche de soleil. [tenez les photos au font de la page].
J’étais ravie d’accepter l’invitation d’un de mes camarades bénévoles d’une fête annuelle chez le restaurant de son fils. J’ai passé une soirée avec des amis dont tous sont majeurs de soixante ans. J’ai toujours apprécié la sagesse des gens aines et j’ai voulu le montrer qu’en passant le soir parmi eux me plaira beaucoup. J’aurai vraiment du mal à les quitter à la fin de l’année scolaire. Je suis toujours contente à passer tous mes lundis avec une telle équipe, néanmoins il me semble qu’il est d’un grand service d’aider les gens défavorisés ; un travail valable à la société et à l’humanité aussi. Même s’il n’y avait pas des bénévoles aimables j’aurai toujours des sentiments qu’il est vraiment d’un bon apprentissage pour la vie. [tenez les photos au font de la page].
J’emprunte des livres à la bibliothèque universitaire en espérant que les livres des sciences sociales françaises m’intéresseraient. Malheureusement le vocabulaire et la langue des textes sont trop complexes et j’avais dû lire chez les livres littéraires qui me plait mais ne sont pas toujours d’utile aux études sociologique qui prend partie de moitie de ma licence. Pourtant un ami m’a prêté une copie du livre ; « Brave New World ’ qu’il y a un an que j’avais commencé. Il me semble que la lecture anglaise soit très importante pour les étudiantes linguistiques, il nous faut se rappeler et de s’informer de notre langue maternelle. Sinon comment pourrions-nous travailler comme enseignants ou traducteurs ?
Puisqu’un de mes colocataires se déménage, je me sens prête à poursuivre une vie encore plus indépendante ; une vie qui me rendra plus sûre de moi, et je suis sure de parler plus de francais à l’appartement.
J’ai pris quelques jours des vacances à visiter Chester. Il me fallait me naviguer dans une ville que je ne connais pas pour attraper mon vol, la ville de Limoges. J’ai négocié mon chemin avec les renseignements des limogeons et mon plan de la ville. J’étais très fière de traverser cette ville toute seule, d ‘abords, pour économiser de l’argent pour un taxi et ensuite pour exercer mes capacités de navigation.
Au début d’un deuxième semestre je suis très contente à célébrer enfin que j’utilise mon journal ! J’ai vu une amélioration de la façon que je me gère au but de mes études, à mes postes bénévoles, à mes loisirs. Les études de la grammaire ne sont pas si de succès que j’aurais voulu mais au cours du mois prochain, je me motiverai de faire plus attention aux niveaux faibles de mes études en français.Les cours commencent bien, je comprends mes professeurs très bien. J’ai choqué un professeur d’histoire en répondrant à ses questions rhétoriques qu’il nous posait. Je regrette que même après trois semaines je n’aie toujours pas l’impression que je m’installe bien ; un professeur de traduction était gravement malade depuis le début de semestre et les autres cours ont étés perturbés pour une telle raison quoi qu’elle soit. Voilà c’est la France !

jeudi 31 janvier 2008

tenez les photos au font de la page

Janvier 2008

Une année de changement.
Nous sommes bien habituées aux grèves à la faculté de Bordeaux 3, pourtant les grèves du transport nous ont donné un grand coup de mauvaise chance. En étant en ville déjà, j’étais en rade et n’avec qu’une seule solution pour rentrer- à marcher.
Nous avons fête les vacances de Noël en mangeant un repas typiquement anglais avec notre colloque et quelques amis proches, il s’est très bien passé avec les ‘crackers’ et j’ai cuisiné d’inde rôtie!
J’ai passé un bon moment avec deux chères amies de l’église. Nous avons les conversations complexes ; de religion et d’autres choses de vraies importances qui me provoquent d’avis, exercent ma capacité en francais orale et qui, de plus, m’intéressent.
Malheureusement je n’ai pas beaucoup progressé en francais écrit à cause de la période des examens prolongée (après les grèves en novembre), et des vacances de Noël.
En rentrant en France je me suis rendue compte que je n’ai pas utiliser assez des opportunités dont ce pays étrangère me donne. J’ai pris d’initiative ! Comme moitie des mes révolutions de bon an j’ai promis de ; travailler sur la grammaire française, lire les textes sociologiques (soit les livres de l’autre métier de ma licence),et de lire les textes francais en utilisant la grande bibliothèque universitaire. Prochainement pendant un deuxième semestre je peux poursuivre quelques cours supplémentaires d’avant, par exemple ; ‘la sociologie de la publicité. Enfin ceux qui restent sont de la santé et des relations interpersonnelles
Auparavant j’avais une vraie peur de parler au téléphone, il me gênait de converser ni de voir les indications de la langue corporelle du récipient, ni d’arriver à me l’expliquer sans hésitation. Maintenant il me semble qu’il ne faut qu’une attitude positive à résoudre mon petit problème de timidité rare.
Il est dommage que je me sente perdue devant les idées d’une carrière ; pour l’instant je n’ai pas d’ambition professionnelle.
Après l’inscription à l’agence de France Bénévolat j’ai trouve deux postes confirmes. Le premier; au Centre Social de St Pierre a change puisque les garçons aient besoin d’aide mathématique d’un niveau supérieur que le mien. D’habitude j’aide les sixièmes avec leurs devoirs d’anglais ; de la prononciation, de la préparation aux contrôles continues et pour leurs expliquer ce qu’ils ne comprennent pas. Vendredi dernier je suis allée à une soirée de soupe ‘la fête des soupières’ patronné par le Centre Social de St Pierre. J’ai rencontre des gens sympathiques et animés. De voir mes collègues dans un contexte social renforce le rapport que je tien avec eux au travail. L’autre est aussi au centre ville aussi, je fais partie d’une équipe des bénévoles liés à une église où ils préparent les repas pour les SDF. Lundi dernier ils m’ont invité à une soirée en février et comme je les aime bien et je voudrais les mieux connaître, j’étais vraiment contente d’accepter l’invitation.
Comme bénévole je contribue à beaucoup de mes objectifs de l’année. Je trouve plusieurs contextes dans lesquels ; je rencontre individus divers, j’apprends pleins des choses de la culture et la société française, je donne d’aide aux gens défavorisés et je les comprends mieux qu’avant. En s’entendant bien avec mes collègues, je parle plus le francais et ils me corrigent si je fais des fautes.
Mon journal me permettra à me gérer mieux pendant deux-mille huit, avec les devoirs, les objectifs des livres et mes activités communales, j’attends avec impatience de voir ce qui cette nouvelle année apportera vis-à-vis mes affaires, mon caractère et d’autres personnes.

vendredi 30 novembre 2007

Le vrai novembre

La semaine de Toussaint
Pour les vacances de Toussaint nos chers amis : Emily et Oliver sont venus passer un peu de temps à Bordeaux pour faire du tourisme. Je leur ai montré les principaux sites touristiques de Bordeaux, en plus les choses qu’on ne voit pas. Leur séjour s’est très bien passé, mais je regrette qu’on n’ait pas assez parlé français.

Le retour au cours
Quelques jours après le départ de nos amis, Jo et moi avons eu la chance d’avoir un rendez-vous avec notre professeur. Tout s’est très bien passé. Nous avons discuté un peu de nos projets, je me sentais contente de mon choix. Bien que notre professeur ne soit restée que peu de temps sur Bordeaux, j’ai pu lui montrer certains points importants de la ville et bien sûr, la faculté Michel de Montaigne.
Le lendemain après le départ de notre professeur, une amie de la faculté et moi avons fait une sortie dans le nord de l’Aquitaine dans la région de Médoc pour visiter quelques vignobles et à déguster le bon vin de cette région. Cela nous a pris une bonne partie de la journée, mais cela en valait la peine ! J’étais vraiment à l’aise à la compagne, ma place d’origine !

En général, je vais à l’église le dimanche matin, il est vrai que j’y rencontre des gens diverses. L’autre avantage est qu’il y a une table d’hôtes chaque semaine qui me permet de faire connaissance avec d’autres personnes et de goûter davantage à la cuisine française. Je suis déjà très reconnaissante à l’église pour ce qu’elle m’a donné, j’y ai d’ailleurs rencontré une de mes meilleures amies, Eliane. J’ai aussi fais la connaissance d’une dame qui veut que je lui apprenne l’anglais. Je verrai comment cela se passera.

En voyant plusieurs gens patiner, cela nous a donné envie d’en faire. Donc, Jo et moi avons acheté des rollers et nous suivons actuellement des cours aux Quais des Chartrons. C’est un très bon exercice et en plus, nous pouvons voir la ville différemment en même temps que nous patinons.

Malheureusement, l’Assemblée Nationale a passé une nouvelle loi de privatisation des facultés, la loi Pecresse, cela signifie que les patrons des sociétés financent les facultés à la place de l’Etat qui les finance actuellement. C’est une privatisation différente de celle que l’on rencontre dans les îles britanniques, car pour la France est que les licences arts et lettres ne recevront pas de fonds pour l’enseignement de ces options. Il y a quinze jours que les grèves des étudiants ont commencé, il est très impressionnant de les voir si motivés par leurs opinions et je les soutien, pourtant je m’ennuie de ne pas avoir cours et je redoute qu’ils ne poursuivent la grève jusqu’à Noël.
La semaine dernière, à cause de ce manque de travail, j’ai décidé de devenir bénévole, c’est à dire j’ai voulu m’occuper en faisant quelque chose d’utile pour la société, que je n’exercerai pas à tous le temps et qui conviendrai moins à mes objectifs d’apprentissage. Je me suis inscrite à une agence de bénévoles et la dame de l’accueil m’a donné un poste dans un centre social du centre ville où j’aide quelques élèves de quatrième à faire leurs devoirs : soit en anglais, soit en mathématiques ou parfois même en français !!! Elle m’a aussi donné un second travail qui consiste à préparer, un samedi par mois, un repas avec les autre bénévoles, pour les SDF. Je n’ai pas encore été appelé, mais je m’attends à l’être prochainement.

mardi 6 novembre 2007

Septembre et novembre 2007

La semaine de recherche
Après être arrivé, on ne pouvait pas s’installer pour l instant, mais on devait trouver un logement. C’était une tache beaucoup plus difficile que je ne le soupçonnais.
Nous n’étions pas les seules à avoir pensé qu’il serait très facile de trouver un logement.
Nous avons donc du commencer notre séjour à l’auberge de jeunesse, c’est là que nous avons rencontré plusieurs étudiants qui n’avaient pas non plus de logement. Les uns comme les autres nous nous retrouvions dans une situation propice à l’amitié, aux rencontres, et à l’apprentissage de la vie, bien qu’elle soit assez stressante.
Le premier lundi, nous sommes allées à la faculté pour une réunion Erasmus. C’est là que nous nous sommes rendu compte que l’université voulait que nous nous inscrivions par Internet. Chose que nous aurions dû faire avant d’arriver à Bordeaux.

En plus, nous avons du résoudre certains problèmes pour trouver un logement sur Bordeaux :

  1. Il fallait nous inscrire au CROUS pour faciliter notre recherche. Le CROUS reçoit des annonces faites par des propriétaires qui cherchent les locataires que ce soit en résidence universitaire ou en location privée.
  2. Souvent les propriétaires veulent que les locataires étrangers aient un ‘Garant français’. Il n’est pas facile pour les étudiants étrangers de trouver un garant. Si un locataire ne paye pas son loyer, le garant le paiera à sa place. Certains propriétaires se satisfont d’une caution (c’est à dire le loyer de deux ou trois mois).
  3. L‘organisation sociale ‘Clé Aquitaine’ fournit un garant aux étudiants qui n’ont pas les moyens d’en trouver un par eux-mêmes. Par exemple, les orphelins, les étudiants étrangers de la région Aquitaine. Le contrat entre le locataire et ce garant peut durer trois années après avoir payé les frais d’inscription (environ 13 euros).

Je suis sûre qu’il y aura d’autres choses du même acabit que j’apprendrai pendant mon séjour à Bordeaux.

Après une semaine d’inquiétude passée à rechercher un logement ; dans les journaux et auprès de nombreuses agences immobilières, (mais malheureusement, sans grand succès), nous avons finalement trouvé un logement en colocation. Il est grâce à un ami que nous avons rencontré à la faculté. Heureusement, nous n’avons pas eu besoin d’un garant.


La période d’installation
Pendant les quinze jours qui suivent, je m’habituais à la vie en Talence, une banlieue de Bordeaux. La chance à sampler les cours variés qui sont enseignés dans une façon différente de ceux de l’université de Chester. Ce qui est intéressante est que les cours à l’université Michel Montaigne sont plutôt comme les cours que je me suis attendu à connaître pendant les études supérieures.
Heureusement, après deux semaines de sampler les leçons j’ai choisi d’assister certaines cours des matières diverses. D’abords, quatre séances de traduction ; Ils signifient deux heures en version et deux en thème dont un est du thème littérature par rapport les trois autre qui concernent les articles de la presse, je n’ai jamais assisté les cours aussi constructif (au moins je m’intéresse à même apprendre les expressions et de vocabulaire de ma propre langue !). Ensuite L’histoire contemporaine, laquelle j’apprends l’histoire de l’Europe occidentale dès l’époque de Napoléon, par exemple, la semaine dernière, on s’est appris l’histoire des territoires en Italie au milieu du dix-neufième siècle. De plus, je suis le cours magistral de l’histoire de l’art contemporain dont m’intéresse au niveau de mes loisirs en peindre. Enfin, bien qu’il soit embêtant le vendredi à huit heures du matin, j’assiste le cours des Institutions Françaises ; la séance dernière m’étonnait avec de nombreux faits, par exemple ; l’interdiction de parler les langues régionales au collège au bout du dix-neufième siècle.


La période d’assimilation
En s’amusant trop à la vie étudiante, je me suis décidée à essayer le vélo d’un ami, je suis tombée lorsque je n’arrivais pas à monter le trottoir et puis j’avais mal à la main. Malgré tous je l’ignorais, je pensais que je n’ai que fait une entorse au poignet. Le lendemain avec une douleur inquiétant, je suis allée à l’hôpital, toute seule, pour consulter un médecin. J’ai dû m’expliquer dans une situation dans laquelle je ne l’avais pas envie de faire. C’était un vrai moment d’indépendance ; de me soigner moi-même. J’ai pleuré un peu en frustration lorsque personne ne m’a compris à cause de mon rhume qui me donnait un accent encore pire que l’habitude et j’étais super fatiguée. Au moins, le séjour à l’hôpital m’a rendu un autre petit service, à part me soulager à la blessure. ; un médecin m’a confié qu’il voulait quelqu’un à parler à ses enfants en anglais une soirée par semaine, donc je lui ai donné mes coordonnés.
Pendant la troisième semaine J’ai passé beaucoup de mon temps sans occupation, hors des cours, je me sentais seule, je me suis rendue compte que si je continuais de vivre comme ça, je ne m’amuserais pas pendant cette année en étranger. Il me fallait trouver les moyens d’égayer la vie française.
Le week-end prochain je fuyais de la ville de Bordeaux pour aller voir les amis et les anciens collègues du collège Jean Roux de Fondettes. J’ai passé un week-end conversant en Français et on a partagé les nouvelles, je me sentais plus à l’aise que jamais lorsque j’y habitais pendant l’été dernier. Néanmoins, il y avait besoin du temps duquel j’ai passe à Tours, pour construire ce que j’y me suis fait.
Après deux semaines d’attente, le médecin ne s’est pas mis en contacte avec moi donc je lui ai laissé au travail un petit mot de mes coordonnés et de plus mon emploi du temps. Le lendemain il m’a appelé et il m’a proposé une réunion avec sa famille à la maison. Je l’attendais avec impatience. Quand je suis arrivée chez lui quelques jours plus tard et je me trouvais dans un environnent qui m’apparaît hors réalité ! Les parents sont froids et d’un esprit très professionnel, même au rôle de parent ! Ils voulaient que je parle aux enfants pendant qu’ils mangent leur dîner et de même utiliser le support visuel sur internet. Ce qu’ils trouvent approprié comme payé est 6Euros par heure, donc 12Euros par séance. Dans ce but, cela n’en vaut pas la peine ; c’est à dire, je ne voulais pas travailler pour une famille fondée en avarice. S’ils étaient sympathiques, il me ferait un plaisir de parler avec ses trois jeunes enfants volontairement, même sans salaire. Dépit le malheur de cette épreuve, je sentais libéré en laissant tomber ce boulot pénible.

Le week-end dernier on est allé, (Jo et moi), à Arcachon avec un petit groupe des amis. A la gare j’ai négocié avec la dame à la caisse s’il y avait toujours un billet qui permettrait un groupe jusqu'à six personnes d’avoir librement accès a tous les trains qui voyagent à l’intérieur d’Aquitaine, au prix environ 35Euros pour la journée. Elle m’a conseillé que l’offre a été terminé à la fin d’été. Bien que l’été ait fini, il faisait beau à la plage. Il faut qu’on explore la région un peu plus.
L’association Babaoc à l’université organise certaines soirées pour les étudiants étrangères, et de plus elle offre un service de parrainage ce qui signifie une liaison entre les étudiants volontaires Français et les étudiants étrangers qui ont besoin des conseilles ou même de parler avec quelqu’un. Ma marraine s’appelle Sophie. Elle m’invitait à dîner chez-lui, Nous ne se connaissons déjà pas très bien. Pourtant je l’ai dit que la prochaine fois je cuisinerai pour elle.Il y a trois semaines depuis j’ai commence d’aller a l’église le dimanche. Il n’y a quasiment rien à faire ici le dimanche. De plus ils sont tous contents de se réunir même avec ceux qu’ils ne connaissent pas et il me permette à parler avec les gens diverses. Une fille m’a donné les coordonnées d’un groupe des jeunes chrétiens à la faculté. En fait le plus je socialise le plus je rencontrerai les autres.