mardi 6 novembre 2007

Septembre et novembre 2007

La semaine de recherche
Après être arrivé, on ne pouvait pas s’installer pour l instant, mais on devait trouver un logement. C’était une tache beaucoup plus difficile que je ne le soupçonnais.
Nous n’étions pas les seules à avoir pensé qu’il serait très facile de trouver un logement.
Nous avons donc du commencer notre séjour à l’auberge de jeunesse, c’est là que nous avons rencontré plusieurs étudiants qui n’avaient pas non plus de logement. Les uns comme les autres nous nous retrouvions dans une situation propice à l’amitié, aux rencontres, et à l’apprentissage de la vie, bien qu’elle soit assez stressante.
Le premier lundi, nous sommes allées à la faculté pour une réunion Erasmus. C’est là que nous nous sommes rendu compte que l’université voulait que nous nous inscrivions par Internet. Chose que nous aurions dû faire avant d’arriver à Bordeaux.

En plus, nous avons du résoudre certains problèmes pour trouver un logement sur Bordeaux :

  1. Il fallait nous inscrire au CROUS pour faciliter notre recherche. Le CROUS reçoit des annonces faites par des propriétaires qui cherchent les locataires que ce soit en résidence universitaire ou en location privée.
  2. Souvent les propriétaires veulent que les locataires étrangers aient un ‘Garant français’. Il n’est pas facile pour les étudiants étrangers de trouver un garant. Si un locataire ne paye pas son loyer, le garant le paiera à sa place. Certains propriétaires se satisfont d’une caution (c’est à dire le loyer de deux ou trois mois).
  3. L‘organisation sociale ‘Clé Aquitaine’ fournit un garant aux étudiants qui n’ont pas les moyens d’en trouver un par eux-mêmes. Par exemple, les orphelins, les étudiants étrangers de la région Aquitaine. Le contrat entre le locataire et ce garant peut durer trois années après avoir payé les frais d’inscription (environ 13 euros).

Je suis sûre qu’il y aura d’autres choses du même acabit que j’apprendrai pendant mon séjour à Bordeaux.

Après une semaine d’inquiétude passée à rechercher un logement ; dans les journaux et auprès de nombreuses agences immobilières, (mais malheureusement, sans grand succès), nous avons finalement trouvé un logement en colocation. Il est grâce à un ami que nous avons rencontré à la faculté. Heureusement, nous n’avons pas eu besoin d’un garant.


La période d’installation
Pendant les quinze jours qui suivent, je m’habituais à la vie en Talence, une banlieue de Bordeaux. La chance à sampler les cours variés qui sont enseignés dans une façon différente de ceux de l’université de Chester. Ce qui est intéressante est que les cours à l’université Michel Montaigne sont plutôt comme les cours que je me suis attendu à connaître pendant les études supérieures.
Heureusement, après deux semaines de sampler les leçons j’ai choisi d’assister certaines cours des matières diverses. D’abords, quatre séances de traduction ; Ils signifient deux heures en version et deux en thème dont un est du thème littérature par rapport les trois autre qui concernent les articles de la presse, je n’ai jamais assisté les cours aussi constructif (au moins je m’intéresse à même apprendre les expressions et de vocabulaire de ma propre langue !). Ensuite L’histoire contemporaine, laquelle j’apprends l’histoire de l’Europe occidentale dès l’époque de Napoléon, par exemple, la semaine dernière, on s’est appris l’histoire des territoires en Italie au milieu du dix-neufième siècle. De plus, je suis le cours magistral de l’histoire de l’art contemporain dont m’intéresse au niveau de mes loisirs en peindre. Enfin, bien qu’il soit embêtant le vendredi à huit heures du matin, j’assiste le cours des Institutions Françaises ; la séance dernière m’étonnait avec de nombreux faits, par exemple ; l’interdiction de parler les langues régionales au collège au bout du dix-neufième siècle.


La période d’assimilation
En s’amusant trop à la vie étudiante, je me suis décidée à essayer le vélo d’un ami, je suis tombée lorsque je n’arrivais pas à monter le trottoir et puis j’avais mal à la main. Malgré tous je l’ignorais, je pensais que je n’ai que fait une entorse au poignet. Le lendemain avec une douleur inquiétant, je suis allée à l’hôpital, toute seule, pour consulter un médecin. J’ai dû m’expliquer dans une situation dans laquelle je ne l’avais pas envie de faire. C’était un vrai moment d’indépendance ; de me soigner moi-même. J’ai pleuré un peu en frustration lorsque personne ne m’a compris à cause de mon rhume qui me donnait un accent encore pire que l’habitude et j’étais super fatiguée. Au moins, le séjour à l’hôpital m’a rendu un autre petit service, à part me soulager à la blessure. ; un médecin m’a confié qu’il voulait quelqu’un à parler à ses enfants en anglais une soirée par semaine, donc je lui ai donné mes coordonnés.
Pendant la troisième semaine J’ai passé beaucoup de mon temps sans occupation, hors des cours, je me sentais seule, je me suis rendue compte que si je continuais de vivre comme ça, je ne m’amuserais pas pendant cette année en étranger. Il me fallait trouver les moyens d’égayer la vie française.
Le week-end prochain je fuyais de la ville de Bordeaux pour aller voir les amis et les anciens collègues du collège Jean Roux de Fondettes. J’ai passé un week-end conversant en Français et on a partagé les nouvelles, je me sentais plus à l’aise que jamais lorsque j’y habitais pendant l’été dernier. Néanmoins, il y avait besoin du temps duquel j’ai passe à Tours, pour construire ce que j’y me suis fait.
Après deux semaines d’attente, le médecin ne s’est pas mis en contacte avec moi donc je lui ai laissé au travail un petit mot de mes coordonnés et de plus mon emploi du temps. Le lendemain il m’a appelé et il m’a proposé une réunion avec sa famille à la maison. Je l’attendais avec impatience. Quand je suis arrivée chez lui quelques jours plus tard et je me trouvais dans un environnent qui m’apparaît hors réalité ! Les parents sont froids et d’un esprit très professionnel, même au rôle de parent ! Ils voulaient que je parle aux enfants pendant qu’ils mangent leur dîner et de même utiliser le support visuel sur internet. Ce qu’ils trouvent approprié comme payé est 6Euros par heure, donc 12Euros par séance. Dans ce but, cela n’en vaut pas la peine ; c’est à dire, je ne voulais pas travailler pour une famille fondée en avarice. S’ils étaient sympathiques, il me ferait un plaisir de parler avec ses trois jeunes enfants volontairement, même sans salaire. Dépit le malheur de cette épreuve, je sentais libéré en laissant tomber ce boulot pénible.

Le week-end dernier on est allé, (Jo et moi), à Arcachon avec un petit groupe des amis. A la gare j’ai négocié avec la dame à la caisse s’il y avait toujours un billet qui permettrait un groupe jusqu'à six personnes d’avoir librement accès a tous les trains qui voyagent à l’intérieur d’Aquitaine, au prix environ 35Euros pour la journée. Elle m’a conseillé que l’offre a été terminé à la fin d’été. Bien que l’été ait fini, il faisait beau à la plage. Il faut qu’on explore la région un peu plus.
L’association Babaoc à l’université organise certaines soirées pour les étudiants étrangères, et de plus elle offre un service de parrainage ce qui signifie une liaison entre les étudiants volontaires Français et les étudiants étrangers qui ont besoin des conseilles ou même de parler avec quelqu’un. Ma marraine s’appelle Sophie. Elle m’invitait à dîner chez-lui, Nous ne se connaissons déjà pas très bien. Pourtant je l’ai dit que la prochaine fois je cuisinerai pour elle.Il y a trois semaines depuis j’ai commence d’aller a l’église le dimanche. Il n’y a quasiment rien à faire ici le dimanche. De plus ils sont tous contents de se réunir même avec ceux qu’ils ne connaissent pas et il me permette à parler avec les gens diverses. Une fille m’a donné les coordonnées d’un groupe des jeunes chrétiens à la faculté. En fait le plus je socialise le plus je rencontrerai les autres.

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